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Affaire Koffi: la révocation de Jessy Kabasele réclamée!

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Kinshasa

Lorsque Jessy Kabasele reçoit ses invités, est-ce qu'il prend le temps de leur donner la ligne de conduite? C'est ce que plus d'un congolais se pose comme question. Ceux qui se posent cette question n'ont pas tord quand on relève la légèreté avec laquelle il fait son émission. C'est comme si Jessy Kabasele recevait ses invités dans son salon à la maison.

Par La rédaction - Vendredi, 12/7/2024 - 23:32

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Lorsque Jessy Kabasele reçoit ses invités, est-ce qu'il prend le temps de leur donner la ligne de conduite ? C'est ce que plus d'un congolais se pose comme question. Ceux qui se posent cette question n'ont pas tord quand on relève la légèreté avec laquelle il fait son émission. C'est comme si Jessy Kabasele recevait ses invités dans son salon à la maison.

Suspendu pour avoir laissé l'artiste-musicien Koffi Olomide vilipender les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) lors de l'émission "Le Panier", d'aucuns estiment que Jessy Kabasele devrait être encore sanctionné. Tenez : pendant que son émission allait vers la fin, alors qu'il voulait ajouter des minutes à Koffi Olomide, à qui il avait laissé la liberté de parler de la guerre (alors que cela est interdit officiellement), Jessy Kabasele s'est permis de dire en direct que la DG de la RTNC, Mme Sylvie Elenge, vient de lui ajouter dix (10) minutes pour continuer son émission.

Vérification faite auprès des services de la DG, Jessy Kabasele n'était pas en contact avec Mme Sylvie Elenge. "Est-ce que c'est Mme la DG qui produit cette émission pour lui demander d'ajouter quelques minutes ?", s'est interrogé un membre de l'entourage immédiat de la DG de la RTNC. Pour lui, Jessy Kabasele a fait preuve d'un manque de respect de la part de l'autorité de l'entreprise qui l'emploie.

Voilà comment, un journaliste qui se veut professionnel, peut débiter des mensonges sur le plateau de la télévision nationale. Et cela, en citant abusivement le nom de la DG. Voilà pourquoi certains esprits avertis réclament même la révocation de ce journaliste qui a foulé aux pieds les règles déontologiques.

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