Santé
Quatre cas de monkey pox ont été suspectés à l'hôpital général de la MAKISO à Kisangani dans la province de la Tshopo. Il s'agit d'un couple avec ses deux enfants âgés respectivement de 22 mois et 5 ans.
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Par La rédaction - Vendredi, 29/9/2023 - 12:52
Quatre cas de monkey pox ont été suspectés à l'hôpital général de la MAKISO à Kisangani dans la province de la Tshopo. Il s’agit d’un couple avec ses deux enfants âgés respectivement de 22 mois et 5 ans.
Selon le médecin chef de division provinciale de la santé /Tshopo, l'épidémie de Monkeypox sévit dans la Tshopo depuis plusieurs mois.
Plus de 1000 cas ont été enregistrés depuis le début de cette année dont une centaine des cas de décès. Tout est mis en œuvre avec notamment, l'appui des partenaires pour la prise en charge des cas avérés.
Les 4 cas suspects se trouvent en isolément au site de prise en charge de l’hôpital général de la MAKISO.
Ces derniers présentent notamment, une forte fièvre et des éruptions cutanées a décrit l’infirmier John KANGAKEA de l'équipe de surveillance épidémiologique.
" Cette épidémie présente des éruptions cutanées au niveau des paumes des mains, du thorax, de la face et des cuisses", a-t-il fait savoir
Pour le médecin chef de Division provinciale de la santé Tshopo, de nombreux cas sont enregistrés dans les zones de santé de sa juridiction dont la zone de santé de Yauma constitue l’épicentre de cette maladie.
Le docteur Francis BAELONGANDI exhorte la population au respect des mesures préventives.
"La prévention comme on le dit c’est d’abord une certaine hygiène personnelle, éviter les contacts avec les gens, ces personnes infectées, éviter les contacts aussi avec les animaux sauvages, c’est déjà se protéger pour qu’on ne soit pas atteint..."
Il sied de note que 11 des 23 zones de santé de la Tshopo sont affectées par cette épidémie de la variole du singe.
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